Il va s’agir, au cours de cet atelier, de permettre aux participants, de créer un cadre d’échanges entre les acteurs publics et privés sur les questions de la réglementation culturelle à l’ère du numérique, d’identifier les référentiels législatifs et les réglementaires portant sur les activités culturelles, dans l’environnement numérique, d’identifier les domaines clés susceptibles d’être pris en compte par la réglementation dans le contexte du numérique.

Le but, selon madame Dabiré, est de leur permettre de faire un état des lieux du cadre juridique et réglementaire des filières culturelles dans le contexte du numérique.
Selon la Secrétaire Générale, cette rencontre d’échanges contribuera à mettre un terme aux inégalités perceptibles dans le développement
des industries culturelles et créatives au Burkina Faso.
Elle a exhorté les participants à avoir des échanges francs et ouverts, afin d’aboutir à des projections enrichissantes et bénéfiques pour toutes les parties.

Il faut noter que cette formation, qui se tient du 21 au 24 septembre 2021, a vu la présence des agents de la Direction de la Promotion des Industries Culturelles et Créatives (DPICC), de la Direction Générale du Cinéma et de l’Audiovisiel (DGCA), de la Direction de la Coopération et des Affaires Juridiques (DCAJ), de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques (ARCEP),du ministère en charge de l’Economie numérique, de la Commission de l’informatique et
des Libertés (CIL), du Bureau Burkinabè du Droit d’Auteur BBDA et des acteurs privés de la culture.